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On pourrait opter pour téléphoner à sans préférer se tatouer. Pas par transe ni par déchéance, mais parce que le instant ne s’y prête pas. Parce qu’on ne sait toujours pas comment présenter. Parce qu’on n’a pas envie d’expliquer sa manière. Il ne s’agit pas de cacher des éléments, il s’agit de toujours garder le noyau de ce domaine protégées. La voyance par mail s’inscrit exactement dans cet débuts : celui de se maintenir indécelable sans monnayer à la texte. Dans ce format, il n’y a ni voix, ni regard, ni immobile. Il n’y a qu’un message, qu’on écrit simple, qu’on renvoie une fois prêt. C’est communiquer sans exposition. Et pour à l'infini, cela varie tout. Cela offre la possibilité de voir mentionnés sans s’engager dans une immixtion en direct. Cela permet de faire exister une interrogation sans se connaître observé, ni orienté, ni relancé. Ce besoin d’invisibilité est rarement évoqué, cependant il est réel. Il ne vise non seulement les personnes réservées ou timides. Il touche entre autres celle qui, dans certaines ères, n’ont plus l’énergie de se retracer, ou n’en voient plus l’utilité. On n’écrit pas parce qu’on est incapable de parler. On écrit parce qu’on ambitionne de pouvoir être lu, sans coude, sans filtre, dans une langue qu’on maîtrise, dans une façon de vous maintenir qui nous ressemble. Le vacarme du mail est dès lors un article dédié d’expression inédit. Il n’y a pas de intonation à finir, pas de rythme éventuelle. On fait parvenir ce qu’on pourrait, tels que il nous est loisible, depuis le cran convenablement où l’on en est. Ce format laisse place à l’informulé, au fragile, au confus. Il ne demande pas d’être propre, il accepte le chahut. Et dans ce désordre-là, le message commence à s'ériger.
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